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Actualités dans la catégorie Analyse

22/02/2024

Auto-dafé Analyse - #Daf , #Jaguar , #Renault

Aujourd’hui, je vous parle d’une voiture du futur, mais qui appartient déjà au passé…

19/02/2024

Les aides à l’achat de véhicules électriques font-elles plus de mal que de bien à l’expansion de ce marché ? Analyse - #Stellantis

Après la suppression des aides à l’achat de véhicules électriques neufs en Allemagne fin 2023, le leasing social français fait long feu et notre bonus écologique est l’objet d’un sérieux coup de rabot. Alors que certains y verront une lourde menace sur la pérennité du mouvement d’électrification des immatriculations amorcé depuis quatre ans, d’autres considèrent, non sans de solides arguments, qu’il y a désormais davantage à perdre qu’à gagner à maintenir des aides à l‘achat qui ont, entre autres défauts majeurs, celui de rendre incontrôlables les valeurs résiduelles.

16/02/2024

Un dernier clou sur le cercueil de la voiture autonome ? Analyse - #Tesla

La voiture autonome n’est pas populaire. Cruise a suspendu son activité en 2023. Depuis quelques jours, Waymo fait à son tour face à des difficultés. Accrochages et maladresses répétés mènent à différents rappels et mettent en évidence les difficultés de Waymo, le service de robotaxis de Google. Ces situations précipitent la prise de conscience sur la réalité et donc l’avenir des robotaxis et de la conduite automatisée.

12/02/2024

Bilans 2023 : pendant l’électrification, la descente aux enfers de la production et du commerce extérieur automobile français Analyse - #Renault , #Tesla , #Dacia , #Fiat , #Stellantis , #Toyota

Des relocalisations espérées avec l’électrification, les statistiques 2023 ne portent pas la trace. La production de véhicules légers s’est un tout petit peu redressée mais moins que le marché et le déficit a cru. Dans ce paysage, le véhicule électrique n’a pas dénoté et n’est pas venu alimenter l’espoir d’un rebond dans l’avenir. Au contraire, le déficit accru a principalement été creusé par le fait que nos exportations de VEB ont bien moins cru que ne croissaient nos importations. Dans un contexte où le VEB est appelé à quitter petit à petit le domaine réservé des véhicules très chers pour concerner plutôt le segment B et les "moins de 30.000", la question pour le site France va, en 2024, être celle de savoir quels seront les succès respectifs en France et en Europe des véhicules de Renault situés sur ce segment assemblés en France et de ceux de Stellantis interdits de séjour dans les sites de l’hexagone.

09/02/2024

Les nouveaux équipementiers automobiles sont parmi nous Analyse - #Tesla

Aux côtés de Bosch, Forvia ou Valeo, des fournisseurs automobiles s’affichent dans divers salons dont le CES. Le rôle de ces entreprises telles que Nvidia, Qualcomm ou encore Mobileye évolue au point où il devient cohérent de se demander si le monde des équipementiers n’est pas en pleine évolution.

05/02/2024

Les ambiguïtés de la phraséologie tavaressienne Analyse - #Renault , #Volkswagen , #Geely , #Ford , #Stellantis

Le statut des propos qu’a tenu Carlos Tavares sur le probable mouvement de consolidation du secteur et le rôle que pourrait y tenir Stellantis apparaît comme marqué au sceau de l’ambiguïté. Ils relèvent en partie de l’autosatisfaction du dirigeant d’une entreprise cotée faisant son roadshow et indiquant qu’il a fait les bons choix. Ils débordent assez évidemment ce cadre et cherchent à avoir une portée politique en suggérant que les mauvais choix passés faits malgré ses véhémentes protestations pourraient être corrigés en l’écoutant enfin.

02/02/2024

Ampere et passe, pourquoi Renault ne mettra pas sa filiale en Bourse Analyse - #Renault , #Volkswagen , #Tesla , #Bmw , #Chrysler , #Fisker , #Geely , #Lucid , #Renault Group , #Stellantis , #Vinfast

C’est une demi-surprise, Renault a décidé de pas introduire en Bourse sa filiale spécialisée dans les véhicules électriques et les logiciels. La direction du Groupe Renault a totalement conscience du changement de contexte et la voiture électrique n’a plus les faveurs des marchés financiers. La question est de savoir si Luca de Meo a raison de penser que cela ne ralentit en rien la monté en puissance de l’entité et le développement de ses solutions.

29/01/2024

Stellantis : ne pas fermer d’usines mais le faire payer cher Analyse - #Renault , #Peugeot , #Fiat , #Stellantis

Alors que les niveaux de production de 2019 n’ont pas été retrouvés en 2023 et qu’un triste consensus semble émerger pour considérer que 2024 sera plutôt en deçà de 2023 qu’au-dessus, le début de l’année est placé sous le signe de la gestion des surcapacités et des sureffectifs. Outre les annonces de fermetures temporaires de sites et de chômage partiel ou de plans sociaux, ce climat provoque des craintes et des menaces et revigore les logiques de mise en concurrence des sites et des pays. Le groupe Stellantis semble être passé maître à ce jeu et, après les escarmouches entre Bruno Le Maire et Carlos Tavares, c’est Giorgia Meloni qui a, la semaine, dernière dû ferrailler avec lui et constater que, décidément, faire chanter les Etats était devenu pour lui une routine.

26/01/2024

Résultats de Tesla en 2023, entre succès et déceptions Analyse - #Tesla , #Byd , #Hyundai , #Mercedes-Benz , #Polestar

La publication des comptes de Tesla est toujours très attendue en début d’année. Pour beaucoup, c’est un thermomètre du marché de la voiture électrique et un indicateur de tendance pour les nouveaux constructeurs. En 2023, le constructeur a poursuivi sa croissance tout en restant en deçà de ses promesses mais aussi et surtout avec des résultats assez inférieurs aux attentes des analystes financiers.

22/01/2024

L’appel de Luca de Meo en faveur d’une politique industrielle européenne a-t-il des chances d’être entendu ? Analyse - #Renault , #Stellantis

Dans un "point de vue" paru dans le quotidien Les Echos daté des 19/20 janvier, Luca de Meo (LDM), comme président de l’ACEA et DG de Renault, plaide "pour une politique industrielle coordonnée en Europe". Soulignant les efforts coordonnés produits par la Chine aussi bien que par les Etats-Unis, il pointe la faiblesse des soutiens de l’UE à l’industrie automobile et nous convainc sans peine de l’intérêt qu’aurait pour l’industrie automobile européenne une telle politique. Reste à s’interroger toutefois sur les raisons qui expliquent ces asymétries et – donc – sur les chances de les voir disparaitre. C’est d’évidence là que le bât blesse : l’UE est, "by design" dirait-on dans l’automobile, inapte à concevoir et conduire une politique industrielle.