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Analyse - 29/01/2024 - #Renault , #Peugeot , #Fiat , #Stellantis

Stellantis : ne pas fermer d’usines mais le faire payer cher

Par Bernard Jullien

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Stellantis : ne pas fermer d’usines mais le faire payer cher

Alors que les niveaux de production de 2019 n’ont pas été retrouvés en 2023 et qu’un triste consensus semble émerger pour considérer que 2024 sera plutôt en deçà de 2023 qu’au-dessus, le début de l’année est placé sous le signe de la gestion des surcapacités et des sureffectifs. Outre les annonces de fermetures temporaires de sites et de chômage partiel ou de plans sociaux, ce climat provoque des craintes et des menaces et revigore les logiques de mise en concurrence des sites et des pays. Le groupe Stellantis semble être passé maître à ce jeu et, après les escarmouches entre Bruno Le Maire et Carlos Tavares, c’est Giorgia Meloni qui a, la semaine, dernière dû ferrailler avec lui et constater que, décidément, faire chanter les Etats était devenu pour lui une routine.

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