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Analyse - 18/02/2021 - #Renault , #Audi , #Bmw , #Ferrari , #Lamborghini , #Lancia , #Lotus , #Peugeot , #Porsche , #Ford

Cupidon, Carole, Valentin et les voitures.

Par Jean-Philippe Thery

Cupidon, Carole, Valentin et les voitures.
Pierce-Arrow Silver Arrow 1933 : un regard unique (Crédit : Wade Brook).

"J’aime, j’aime, j’aime" chantait Julien Clerc en 1982, sur un air de pub au lancement de la Citroën BX. Parce que l’automobile, c’est aussi des histoires d’amour…

En 1909, un certain William Howard Taft, vingt-septième Président des Etats-Unis d’Amérique et successeur de Theodore Roosevelt, signa deux bons de commande portant sur l’acquisition des quatre premières automobiles destinées à la Maison Blanche. Le premier était adressé à la maison White (ça ne s’invente pas), alors que Pierce Arrow livrait deux modèles 6 cylindres 48 HP de son usine de Buffalo dans l’Etat de New York, initiant une collaboration qui ne s’acheva qu’en 1921, lorsque Woodrow Wilson emmena avec lui la limousine qu’il avait tant apprécié au cours de ses deux mandats.

Avec Packard and Peerless, Pierce-Arrow faisait partie du fameux groupe des "trois P", représentant le nec le plus ultra de ce que l’Amérique produisait alors en matière de voitures de luxe. Un destin plutôt inattendu pour une firme dont les origines remontent à 1865, alors qu’elle produisait principalement des cages d’oiseau et glacières, avant de passer aux bicyclettes et motos, dont la première quatre cylindres fabriquée dans le pays. Quelques années plus tard, ses prestigieuses automobiles -certaines mues par un douze cylindres- trimballaient en plus des deux POTUS diverses têtes couronnées, ainsi que des capitaines d’industrie et autres vedettes de cinéma, avant que la faillite ne l’emporte en 1938. A partir de 1914, les voitures de la marque adoptèrent le faciès les rendant reconnaissables entre toutes, grâce aux phares intégrés aux ailes Avant plutôt qu’enserrant le radiateur comme c’était alors la norme.

Mais plutôt que de leurs optiques, c’est de l’emblème des Pierce-Arrow dont je compte vous entretenir aujourd’hui, représentant un homme agenouillé s’apprêtant à décocher une flèche, décliné en logo et statuette trônant sur le bouchon de radiateur. Bien que ne disposant d’aucune preuve formelle à ce sujet, j’ai toujours pensé que la figure de proue de ces très originales machines avait été inspirée par Cupidon, Dieux de l’Amour, fils de Mars et Vénus, dont les projectiles étaient capables de faire ou défaire le sentiment amoureux chez ceux ou celles qu’ils atteignaient, selon qu’ils étaient d’or ou de plomb. On ne me fera pas croire que Monsieur Pierce n’y a pas pensé, lui qui sut faire preuve de tant d’à-propos en associant son nom (signifiant "perce" en anglais) à l’image de la flèche, pour baptiser la marque dont il était le fondateur.

De combien des idylles qui ne manquèrent pas de se nouer et dénouer à bord des Pierce-Arrow le futile petit bonhomme fût-il responsable, même s’il semblait pointer son arc sur la voiture de devant ? C’est la question que je me pose en ce 14 février alors que j’écris ces lignes, dont la réponse appartient sûrement à l’imagination de chacun, puisque même Google n’a pas su me la donner. Mais ce que je sais, c’est que la belle Carole Lombard a possédé une Twelve Convertible Sedan verte avec intérieur en cuir d’autruche, et que l’un des cinq exemplaires du modèle le plus célèbre de la marque fait une très furtive apparition au début de "Gable and Lombard", film sorti en 1976 contant la liaison de la star avec Clark Gable. Que la fameuse "Silver Arrow" de 1933 s’y soit trouvée sur le lieu de leur rencontre, initiée -de façon totalement fictive- par un accident de voiture, ne peut à mes yeux dépendre du simple hasard.

Et puisqu’il est question de Carole et de la Saint Valentin, je ne puis résister au plaisir de vous conter ce 14 février de 1936, lorsque l’actrice connue pour ses facéties stationna sur l’emplacement de la Metro Goldwyn-Mayer habituellement réservé à son amoureux une vieille Ford T récupérée dans une casse, peinte de blanc avec des cœurs rouges. Sur le volant, une note anonyme mais dont l’auteure ne laissait pas grand doute : "You drive me crazy" ("Tu me rends dingue"). Amusé, Clark se prit au jeu, et c’est aux commandes de la pauvre auto qu’il alla chercher Carole ce soir-là pour l’emmener au Café Trocadéro, dont le "valet" dut s’étonner de voir arriver le couple en tel équipage, lui vêtu d’un smoking, elle tout aussi élégante dans sa robe de couturier. Il faut dire que c’est une sublime Duesenberg JN Convertible jaune pâle carrossée par Bohman & Schwartz qui accueillait habituellement les confidences du couple, qu’elle promenait prestement grâce au souffle de son puissant V8 "Supercharged".

Voilà qui nous rappelle que nul n’est besoin d’une opulente américaine pour se constituer des souvenirs amoureux bien à soi sur quatre roues, pas plus d’ailleurs que d’une carrière de star hollywoodienne, tant il est difficile à nos vies sentimentales contemporaines d’échapper à l’automobile. Ne me dite pas qu’il n’y a pas dans les méandres de votre cortex le souvenir d’une ou plusieurs embrassades dans l’habitacle protecteur d’une conduite intérieure raccompagnatrice, que vous ayez été lové(e) dans le siège du conducteur ou de la passagère, à moins que ce ne soit l’inverse. Dans le cas contraire, vous ne faites donc pas partie des 87% de français qui avouent avoir déjà pratiqué le baiser en voiture, selon l’étude réalisée en 2017 par le site Minute Auto, qui lorsqu’il ne s’intéresse pas à votre vie sentimentale, compare le prix de contrats d’assurance automobile.

Je sais que certains -ou plutôt certaines- me trouveront sans doute bien empressé. Ainsi vont les hommes, pressés de brûler les étapes ! Mais si je reconnais avoir un peu oublié de passer par la case séduction, c’est que j’avais cru comprendre qu’user d’une bagnole pour flirter, c’était devenu complètement ringard. A tort semble-t-il, puisque 82% des répondantes à la même étude admettent se sentir attirées par les hommes conduisant de "beaux modèles". Mais si vous pensez à d’ostentatoires berlinettes transalpines, détrompez-vous puisque c’est aux allemandes que vont leurs préférences, BMW en tête, suivie par Mercedes. C’est à ne plus rien y comprendre, quand on songe qu’il y a bientôt 30 ans, la concurrente d’Ingolstadt avait été copieusement conspuée pour l’une de ses publicités dont la voix off affirmait : "Il a une Audi, il aura la femme".

D’ailleurs, même si les belles carrosseries ou les grosses cylindrées -expression dont je mesure toute la désuétude à l’heure du downsizing et de l’électromobilité- ne vous font ni chaud ni froid, avouez pourtant que les autos que nous choisissons -et mêmes celles que nous ne choisissons pas- en disent souvent long sur nous, comme autant de miroirs plus ou moins laqués de nos personnalités. Ou du moins façonnent-elles en partie notre image, même s’il y a parfois erreur de casting. Le lauréat, Miss Emma Peel ou l’inspecteur Colombo seraient-ils d’ailleurs tout à fait les mêmes sans leurs Alfa Roméo Duetto, Peugeot 403 cabriolet hors d’âge ou Lotus Elan "Powder Blue" respectives ? Verriez-vous Walter White, improbable héros de "Breaking Bad" de la même façon sans son inénarrable Pontiac Aztek jaune pisseux ? A l’opposé, Thomas Magnum aurait-il connu le même succès sans la rutilante Ferrari prêté par Robin Masters ? Et la jolie boulangère à qui je demandais mon pain quotidien il y a bien des années, m’aurait-elle enfin concédé un premier sourire si je n’avais pas garé une Renault 19 16S Cabriolet Bleu Nuit un soir d’été devant sa vitrine ? Dire que je lui ai aussitôt avoué que ce n’était pas la mienne…

Pas question de fêter la Saint-Valentin à Téhéran, depuis que le régime des mollahs y a interdit la promotion de ce symbole de la décadence occidentale. Mais là-bas, on se fiche sans doute pas mal de nos états d’âmes quant à l’usage de l’automobile comme instrument de séduction, surtout s’agissant de la jeunesse assez dorée pour en posséder une. Celle-là se retrouve le samedi soir venu sur le Boulevard Saadat-Abad pour rejouer une version locale du Cruisin’ à la "American Grafitti", puisque mieux qu’Instagram, les allers-retours sur l’une des principales artères de la ville permettent d’échanger des regards, quelques mots et parfois des numéros de téléphone. Dans un pays sans bars ou boites de nuits pour se rencontrer, l’automobile constitue un véritable sésame amoureux, surtout si tout-terrain et correctement chaussée, elle permet la conduite hors-piste dans les coins désertiques du pays, loin des regards inquisiteurs, officiels ou non.

Pas de censure ici, mais un peu de retenue tout de même pour une chronique grand public, où nous jetterons donc un voile pudique sur ce qui se passe parfois à l’arrière des berlines. Lorsque Jack et Rose se retrouvent à bord d’une Renault CB en fond de cale dans Titanic, la main de Kate Winslet plaquée sur la vitre embuée du luxueux Coupé de Ville s’avère suffisamment suggestive pour que James Cameron n’ait pas jugé utile d’en rajouter. (Avant que vous ne me posiez la question, la voiture était bien à bord dans la vraie vie, furtive propriété de William Ernest Carter qui survécu au naufrage). Plus explicite dans 60 secondes chrono, Angélina Jolie interprétant Sway s’interrompt néanmoins à temps pour prioriser les impératifs de sa profession alors qu’elle est en train de dérober une sublime Lamborghini Diablo. A l’inverse on ne saurait trop déconseiller le comportement de Nathalie Voss (Kristy Swanson) à l’encontre de Jack Hammond (Charlie Sheen) dans' A toute allure', considérant que le coupé BMW Série 3 rouge où se déroulent les faits est alors en mouvement sur une autoroute urbaine. Et si vous croyez que tout ça c’est du cinéma, sachez que 57% des français ont récemment déclaré avoir déjà eu une relation intime à bord d’une voiture aux très sérieux enquêteurs d’IPSOS. N’étant jamais à cours de recommandations utiles, je rappellerai tout de même à mes aimables lecteurs que ce genre de pratique est passible d’une amende de 15.000 euros. C’est vous qui voyez.

Histoire de refroidir quelque peu les mécaniques -quoique- rappelons que dans les univers fictifs, les autos aussi connaissent des idylles. Comme Roméo dans La Coccinelle à Monte Carlo, s’éprenant d’une très séduisante Lancia Beta… Montecarlo évidemment dénommée Juliette, ou de Lightning McQueens dans Cars, prêt à lâcher l’asphalte des pistes de vitesse pour les beaux yeux de Sally Carrera, une Porsche 993 en quête de sens dans la petite ville de Radiator Springs. Il arrive aussi que la machine s’amourache de son propriétaire, à l’excès comme la Plymouth Fury 57 dont on sait quel sort John Carpenter lui a réservé dans Christine. Vous n’y croyez pas ? Moi, je me rappelle tout de même que le seul coup de la panne que m’ait joué ma Lancia HPE il y a bien des années, s’est précisément produit le jour où je suis passé devant elle au volant d’une autre voiture.

Quoiqu’il en soit, je n’ai pas voulu passer cette Saint-Valentin un peu tristounette avec des autos sommées de rentrer au garage avant 18 heures sans évoquer avec une certaine nostalgie des époques plus riantes. D’autant plus qu’entre la désaffection pour la voiture qui semble affecter les jeunes générations, les ZFE et autres empêchements de tourner en rond, l’avenir ne s’annonce semble-t-il pas très radieux pour les amoureux de l’automobile et les amoureux en automobile. Même si certains verront de ce point de vue dans la voiture autonome un potentiel prometteur.

Tout ce que je sais, c’est que le petit cupidon de la Pierce-Arrow verte n’a jamais revu sa propriétaire, après un sale jour de janvier 1942, quand le DC3 qui la ramenait de son Indiana natal où elle avait participé à un évènement de soutien à l’effort de guerre s’écrasa dans les montagnes environnant Las Vegas. Je n’ose penser que par jalousie pour la Duesy, celui-ci avait décoché ce jour-là une de ses maléfiques flèches plombées. Mais allez savoir avec les dieux grecs. Quant au beau Clark demeuré inconsolable, il se défit aussitôt de la somptueuse auto à bord de laquelle il avait partagé de si beaux moments avec sa jeune épouse.

Allez me dire après ça que les voitures n’ont pas au moins l’âme que nous leur prêtons.

Réactions

Merveilleuse chronique.
J’imagine la Saint Valentin au Texas en Tesla et.......sans courant en sifflotant je t’attendrais sur la porte du garage tu paraîtras dans ta superbe auto il fera nuit etc etc,merci à Charles et bien sûr Jean Philippe

Rafraîchissant à plus d’un titre cette fresque cinématographique à l’occasion de la St Valentin.
Les femmes sont attirées par les hommes de pouvoir, les hommes de pouvoir sont attirés par les belles voitures.
Le trio se referme sur lui même comme dans une alcôve fortuite.
Beaucoup aurons à l’occasion de la Chronique de Jean-Philippe vu surgir du fond de leur mémoire des images de leur passé amoureux retouchées par le temps où la femme et l’automobile s’entrelaçaient pour notre plus grand plaisir. Merci Jean-Phi.

Zallez vous faire attraper par la patrouille avec des commentaires pareils...
;0)

Surtout que Georges Tron dort au cachot,rejugé après son acquittement et sans nouveaux éléments boum 5 ans,mee too est passé par là,même Berry est déprogrammé sans le bénéfice du doute!!!

Et alors .... ou est James Bond avec son Aston qui courtise les belles en cabriolet !

Et Mr Bean avec sa mini ?
;0))

Et la Dodge Charger de Bo et Luke avec Daisy à l'arrière ?
La Ford Torino de Starsky et Hutch avec Huggy à l'arrière ?
La De Lorean de Marty avec... euh... le moteur à l'arrière ?
La voiture de Oui-Oui avec Potiron à l'arrière ?
La Prius de Boise avec 5 jerrycans à l'arrière ?
...
;0))

...C'est sûr . la Prius et Boise c'est une très belle histoire qui sent bon le cidre et les fruits de mer ...

« chais » pas vous ? …
Pour ma part … j’aurais bien envisagé dans cette revue « cupidonnienne » figurer la Mustang « Wimbledon White » parée de ses « oscars » et de son numéro 184, tellement elle constitue un personnage incontournable dans « un Homme et une Femme » aux côtés de la délicieuse Anouk Aimée et de l’excellent Jean Louis Trintignant … Le film culte qui allie French Love et passion automobile, par excellence.
De même dans un registre un peu plus restreint, les cinéphiles, notamment, se souviendront de la « merveilleuse interprétation » de l’adorable MG TC dans le film the road for two (une pour deux) dans lequel se déroule le parcours amoureux du couple formé par l’inoubliable Audrey Hepburn et le solide Albert Finney …
Feu Alain Resnais (aidé par les travaux du professeur Laborie, il faut bien le dire a très bien décrit dans « Un Oncle D’Amérique » ses films l’influence des stéréotypes cinématographiques dans le comportement humain …

A cet égard, je serai curieux de connaître l’impact qu’ont pour les quadra / trentenaires des films cultes comme « Retour vers le futur » ou Star Wars » …
Y a au moins un p’tit malin, qui en a fait son business en montant « Movies Car Central » à partir d’une terrible passion pour la De Lorean de Doc (ou Marty McFly).
Mais je m’éloigne du sujet … Allez un p’tit coup de convecteur spatio temporel … A+
;0)

J'espère que Marlène Chépa ne lit pas Autoactu.

.... Euh ... et la désuète Sunbeam Alpine "Bleu Saphir conduite sur la corniche par Grace Kelly dans "To catch a Thief" (La main au collet quoâaa) avec Cary Grant ... Un film très "Glam" aussi ...
On en parle ?
;0)

Chépa ce que vous avez voulu dire Bruno... ?
ah que Marlène Schiappa serait "révulsée" par certain commentaire comme le soulignait Lucos ...
Y a moyen !..Et ce pôvre Tron qui se "goinfre" 5 ans pour l'exemple ...
Gaffe aux massages ... de pieds ... Darmanin doit être un peu moins serein tout d'un coup (?).
;0))

A dire vrai, je suis bien certain que Marlène ne serait absolument pas choquée par les commentaires de certains car elle a écrit des livres à connotations clairement érotiques ; il y a belle [b]urette qu'elle ne rougit plus.

Quant à M. Tron, la justice a jugé -dont acte- mais, faut-il le rappeler, après avoir prononcé un non-lieu, puis un acquittement. Alain a parfaitement raison, mitou est passé par là ce qui décrédibilise ce rendu de "justice", ô combien.
Ira-t-il en "cass" ?

Le niveau est au top !! Vite un Oscar du meilleur commentaire !

Il fut une époque où ça bucheronnait plus sur Autoactu !
A ce sujet, j'ai répondu au questionnaire abonnement et j'ai une remarque sur le "Homme, femmes, non défini !"
Ce dernier, peu sympathique, risque aussi d'énerver Marlène !
"Autre" ou "chais pas vraiment", voire "chais plus !" eu été plus convenant !
;0))

Lucos ...un commentaire pour faire
"genre" ...
;0))

Dans un autre genre ...La chronique de Jean Philippe fait référence à la Duesenberg (marque US emblématique des années 30) qui transporta les amours (ancillaires ?) de Carole Lombard et de Clark Gable ... Plus près de "nous", une autre sublime Duesy a défraillé la chronique cinématographique, notamment pour des questions de temporalité ...C'est celle qui trône aux côtés de Leonardo dans le remake de "Gatsby le Magnifique" (en "Français" The Great Gatsby ...) dans sa mangnifique couleur crème ...Elle était (est ?) exposée dans le magnifique et bien connu musée Petersen ... Nous, dans un autre genre, on a bien "Gabegie La Magnifique" alias not' Ségolène qui a espéré se faire offrir une Tesla S ...mais çà n'a pas bien fonctionné, on dirait ...Et Musk s'en est allé construire son usine en Allemagne au lieu de s'arrêter à Fessenheim ... Une histoire de désamour qui finit mal, en quelque sorte ...
;0)

@Ade Airix
La Sunbeam Alpine a déjà fait une apparition dans une de mes chroniques...
https://www.autoactu.com/actualites/championnat-de-la-montagne

Effectivement Jean Philippe, je m'en souviens fort bien .... et pour cause ...
Vous avez voulu éviter l' "amour" de répétition, en somme ... Car côté cupidon "La Main au Collet çà assure bien ... !
;0)

J'ai une pensée émue et respectueuse pour tous les garages répondant au nom énamouré de "Valentin Auto" et qui sont restés ouverts dimanche pour offrir des roses à leur clientes...
(Réveille toi Lucos, réveille-toi...)
;0))

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