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Les actualités automobiles à la une

Édition du mercredi 13 novembre 2024

Des groupes européens toujours plus puissants en 2023, Bymycar s’approche du Top 10

La France figure en bonne place dans le Top 50 européen des distributeurs indépendants établi par ICDP en prenant la première place en nombre de groupes devant le Royaume-Uni. Sur la base des données de 2023, le chiffre d’affaires moyen a progressé de 15% à 3,28 milliards d’euros.

Réseaux - 13/11/2024 - #Kia

Le réseau Kia dans l’attente d’une aide immédiate du constructeur

Rien ne va plus dans le réseau Kia : des prises des commandes en baisse de 40% ; des VO électriques dépositionnés par rapport au marché ; et une politique commerciale basée sur le volume qui grève la rentabilité qui pourrait tomber à -1,4% si le constructeur n’apporte pas son soutien très rapidement, s’inquiète le groupement des distributeurs Kia.

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Édition du mardi 12 novembre 2024

Marchés - 12/11/2024 - #Alfa Romeo , #Stellantis

Aidez-nous, pensez au véhicule d’occasion, pensez aux concessionnaires : les messages de Jean-Philippe Imparato aux députés

Lors de son audition devant les députés la semaine dernière, le nouveau patron de la région Europe de Stellantis, Jean-Philippe Imparato, a renvoyé aux députés (qui ne l’ont par ailleurs pas épargné) leur responsabilité de soutenir la transition vers le marché du véhicule électrique. Il leur a demandé de maintenir le budget à 1,5 milliard d’euros. "Il est important que la puissance publique se mobilise avec nous", leur a-t-il dit.

Renault se hisse sur le podium des marques préférées des distributeurs

Derrière des habituées du podium, BMW et Mini, la marque Renault se distingue cette année en se hissant sur le podium de la Cote d'amour des constructeurs, la grande enquête menée par Mobilians auprès des réseaux de distribution.

Analyse - 12/11/2024 - #Renault , #Bmw , #Byd , #Dongfeng , #Honda , #Nissan , #Toyota

Nissan : seul, sino-dépendant et bien mal-en-point

Il n’aura pas fallu bien longtemps pour que les managers de Nissan et les observateurs s’aperçoivent que la vie après l’Alliance n’est pas celle rêvée d’une liberté retrouvée pour pouvoir enfin montrer combien l’entreprise était intrinsèquement performante. C’est l’inverse qui ressort puisque Nissan dévisse en Europe, aux Etats-Unis et surtout en Chine. On en déduit que l’Alliance n’était pas cette machine à tirer Nissan vers le bas que certains ont décrit. On en déduit surtout que les réussites les plus éclatantes en Chine dans les années 2010 deviennent des sino-dépendances très problématiques dont il faut se libérer dans les années 2020.

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