Publicité
Publicité
Analyse - 30/09/2021 - #Renault , #Tesla , #Audi , #Bentley , #Bmw , #Bugatti , #Ferrari , #Hyundai , #Honda , #Jaguar , #Kia , #Lamborghini , #Lotus , #Man , #Mitsubishi , #Nissan , #Peugeot , #Porsche , #Rolls-Royce , #Skoda , #Fiat , #Ford , #Cadillac , #Gmc , #Isuzu

La Ton

Par Jean-Philippe Thery

La Ton
Louis Rigolly : C’est un Frenchie qui fut le premier à faire la Ton;

Aujourd’hui, c’est la centième ! Du coup, j’en fais des tonnes…

Tout le monde sait que les habitants d’outre-Manche sont des gens un peu bizarres. 
En dehors du fait qu’ils habitent un Royaume Uni dont la désignation relève de l’oxymoron (plus encore depuis le Brexit), et qu’ils sont privés de gentilé, ceux-ci se signalent également par un drôle de sens de la mesure. Non, je ne fais pas ici allusion au flegme dont le Britannique est réputé être détenteur, mais plutôt à leur drôle de façon de graduer les distances, et par conséquence les superficies et vitesses de déplacement.

Parce qu’avouez qu’il faut être particulièrement retord pour inventer un mile équivalent à 1.609,344 mètres, quand on dispose hors territoires anglo-saxons du kilomètre, d’autant plus pratique qu’il correspond à mille fois la longueur du trajet parcouru dans le vide par la lumière, pendant une durée d’un 299.792.458e de seconde.

Et cette loufoquerie ne s’arrête pas à la définition des unités de mesure, puisqu’elle en touche aussi parfois l’usage. Tenez, prenez par exemple la tonne. Même si nos amis grand-bretons feignent de croire qu’elle équivaut à 2.204,622.621.849 livres impériales, ils n’ignorent évidemment pas qu’elle correspond en fait à 1.000 de nos kilogrammes. Ce qui ne les empêche pas -sans doute par esprit de contestation à l’encontre d’un vocable d’origine française- de l’utiliser comme centaine s’agissant de vitesse. Ainsi, si vous entendez que "George is doing a ton on the motorway", n’imaginez pas un seul instant que le brave homme court après la vitesse du son (1.234,8 km/h), mais tout simplement qu’il roule à environ 160 km/h, enfin je veux dire one hundred miles per hour .

Si je vous raconte tout ça, c’est que la chronique que vous êtes en train de lire est la centième que je publie. Et je suis le premier étonné de constater que deux ans après la parution de la première d’entre elles le 5 septembre 2019 - intitulée "L’industrie automobile pourrait bien tuer la voiture"-, il y a encore suffisamment de lecteurs sympas pour me garantir un "retour du Jeudi" chaque semaine sur Autoactu.com. Qu’ils en soient ici remerciés, ainsi que Florence Lagarde (la patronne), Farida qui traque les coquillettes que je laisse régulièrement passer, et l’ami Yann qui en a souvent la primeur au téléphone, façon podcast.

Pour commémorer le fait à ma façon, je me suis donc livré à de savantes recherches électroniques sur le nombre concerné, dont j’imaginais qu’elles me permettraient de dénicher quelques trucs intéressants à raconter. Et ça a plutôt bien commencé lorsque je me suis vu rappeler que 100 représente la somme des neufs premiers nombres premiers (2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19 et 23), ou celle des cubes des quatre premiers entiers naturels (1³+2³+3³+4³). Puis ça s’est un peu corsé quand Google m’a expliqué qu’il constituait aussi un nombre d’Harshad (divisible par la somme de ses chiffres, c’est-à-dire 1 + 0 +0), et même octakaidecagonal (si j’ai bien compris, qu’on peut représenter par un polygone régulier de 18 côtés). 

Et si j’étais sur le principe ravi d’apprendre que 100 est un nombre trois fois brésilien, j’ai très vite déchanté à en lire l’explication. Sachez en effet qu’un nombre n>0 est dit "brésilien" s’il existe un entier b vérifiant 1<b<n-1 pour lequel la représentation de n en base b s’écrit avec des chiffres tous égaux. En d’autres termes, qu’il correspond à la somme géométrique n=a+a*b+a*b²+…+a*bc-1.

Du coup, je m’en tiendrai à une sélection aussi personnelle qu’aléatoire d’un certain nombre de "cent" liés à l’automobile, ce qui nous amène au 21 juillet 1904. C’est en effet à cette date que le Français Louis Rigolly pilotait la première automobile de l’histoire à franchir la "Ton", à Ostende en Belgique. De quoi irriter nos presque-voisins, qui se consoleront avec le premier mile lancé parcouru à une moyenne supérieure à 100 milles à l’heure par un des leurs, lorsqu’un certain Arthur McDonald emmena sa Napier 90 HP à très exactement 164,651 mph, le 24 janvier 1905 sur la plage d’Ormond en Floride.

Mais revenons à Louis, dont la Gobron-Brillé développait apparemment 110 chevaux lorsqu’il dépassa les 160 km/h, ce qui serait bien dommage pour ma chronique, si celui-ci n’avait pas battu de nombreux autres records de vitesse à bord d’une auto de la même marque, affichant cette fois 100 chevaux tout rond. Et ce fut notamment le cas lorsqu’il devint le premier pilote automobile à franchir le cap des 100 km/h en course lors du Paris-Vienne organisé en juin 1902.

Un peu avant notre Français de Belgique, c’est à un Belge en France qu’on doit d’avoir dépassé pour la première fois le cap hautement symbolique des 100 km/h, le 4 mars 1899 dans la Plaine d’Achères. Un évènement que j’ai d’ailleurs évoqué dans ma deuxième chronique ("Les plaisirs coupables de l’électricité") lorsque je racontais que la "Jamais contente", l’étonnante voiture de Camille Jenatzy en forme de cigare juché sur quatre roues, roulait au jus de batterie. Un détail qui ne manquera pas de combler les amateurs du genre qui voient dans la voiture électrique une idée lumineuse, mais qui servira d’argument à leurs détracteurs, lesquels ne manqueront pas de leur rappeler qu’elle est loin de constituer une idée neuve. 

Quel que soient votre camp et votre combustible de prédilection, il vous sera aujourd’hui difficile de trouver un modèle qui n’atteigne pas les 100 km/h. C’est pourtant la limite qu’il vous faudra respecter à Chypre et Cuba, de même qu’en Egypte, en Ethiopie, en Indonésie, au Japon ou en Jordanie. Si vous êtes pressé, ne vous reste qu’à vous y rendre en Ferrari SF90 ou Tesla Model S Plaid, deux des rares modèles de production capable de vous propulser de zéro à 100 en 2,3 secondes départ arrêté à la sortie des péages.

Quant à la "Ton", elle n’est autorisée que dans les très rares endroits du monde où la vitesse est libre. En Allemagne, pour les deux tiers de son réseau routier, ou sur l’Ile de Man. Mais vous pouvez oublier les territoires Nord de l’Australie autrefois libres, où une limite de 130 km/h a été réinstaurée depuis 2016.

Si les sujets liés à la vitesse sont largement documentés, mon moteur de recherche préféré m’a lâché… sur les moteurs. Pas moyen en effet de débusquer la première automobile de série dont la mécanique a atteint les 100 chevaux. Tout ce que j’ai pu découvrir, c’est que celle-ci se situe quelque part après 1908, lorsque la Napier 80 était le modèle le plus puissant alors disponible avec ses 91 valeureux percherons, et avant 1912, quand la mécanique de l’Isotta Fraschini développait pas moins de 119 pur-sang. Pas plus de succès côté puissance spécifique, puisque je cherche encore le premier modèle ayant dépassé les 100 chevaux au litre. Et je ne suis apparemment pas le seul à lire les échanges passionnés abordant le même thème sur les forums spécialisés.

Et puisqu’il est si difficile de trouver du 100 sous les capots, je vous propose une petite revue alphabétique de ceux qui s’affichent sur les monogrammes. Celle-ci n’est néanmoins pas exhaustive, et nul doute que vous m’en citerez d’autres dans les commentaires de bas de page.

Audi 100 : Heureusement pour la marque d’Ingolstadt, ses modèles sont autrement plus sophistiqués que leurs appellations minimalistes. A l’époque où celle-ci s’efforçait de jouer dans la cour des BMW et Mercedes, la troisième génération de la 100 lancée en 1982 affichait un Cx record de 0,32 avec une carrosserie à l’aérodynamique léchée faisant immédiatement vieillir les BMW E28 et Mercedes W123 sur les platebandes desquelles elle prétendait rouler. Son plus gros défaut était sans doute de trop ressembler à la 200, au grand dam du patron qui confondait son auto avec celle de son CFO sur le parking de la boîte.

Bentley EXP 100GT : Quand on fait du bling bling de salon à Crewe, ça donne une berline de 5,80 m par 2,40 m, avec portières en ailes d’Elytre à la Lambo, calandre illuminée par fibre optique et une version lumineuse du fameux B étoilé. La marque méritait sans doute mieux pour fêter son centenaire en 2019, d’autant plus que ses lignes gagneraient sans doute d’être débarrassées des excès de chrome. Un coup d’œil à l’intérieur de l’engin s’impose tout de même, ne serait-ce que pour admirer le cuir végétarien issu de déchets vinicoles, et des parements de bois récupéré au sol, en total opposition avec l’"esprit" de l’extérieur.

BMW/Mini/Rolls-Royce Vision Next 100 : Quand les designers bavarois s’amusent à imaginer l’auto de dans 100 ans en 2016, ils en font profiter toute la famille. Ça nous donne trois exercices de style pour voiture autonome dont le mode de propulsion reste à imaginer. Bref, une vision très 2016 de l’automobile qu’on aura oubliée dans 100 ans.

Bugatti 100P : Ce n’est pas une auto, mais c’est tellement beau. L’avion Bugatti, qui n’a jamais volé à l’époque de sa construction en 1937, était décidément voué à un destin tragique. Sa réplique construite des années plus tard s’écrasa au sol en 2016, tuant son pilote et concepteur.

Cadillac Cien : Un autre prototype avec portières s’ouvrant vers le ciel pour célébrer lui aussi le centenaire de la marque (en 2002), sauf que celui-ci était particulièrement réussi. Appliqué à une berlinette à moteur central arrière (un V12 de 750 chevaux), le style reconnaissable entre tous de Cad fait merveille. D’ailleurs, la belle a eu droit à une carrière au cinéma, aux côtés de Scarlett Johansson dans "The Island", puis lors d’un bref passage dans "Transformer, the age of extinction". Il y a comme ça des autos qui vous font regretter que le futur qu’elles proposent n’ai pas existé…

Fiat Panda 100 hp : En voilà une qui ne manquait pas de culot en affichant en 2006 une puissance qui aurait pu la ridiculiser. Sauf que la bestiole était semble-t-il véritablement amusante, prouvant si besoin était qu’il n’est pas forcément besoin de motorisations monstrueuses pour concevoir des autos-plaisir. Imaginez que Renault Sport nous ait pondu une version 100 ch de la Twingo première génération…

Ford F100 : L’ancêtre du pick-up F150, aujourd’hui la voiture la plus vendue au monde. L’appellation F100 apparait sur la deuxième série de "F-Series", apparue en 1953 et perdure jusqu’à la sixième génération produite jusqu’en 1975 (enfin je crois). Il y en a pour tous les goûts, de la carrosserie rondouillarde des débuts à celles dessinées à la règle des 70’s. 

GMC 100 : L’une des innombrables versions du pick-up mid-size de chez GM. Si comme moi, vous n’arrivez pas à vous retrouver dans les différentes générations et appellations, prenez le modèle du dessus.

Hyundai H100 : Un de ces petits utilitaires typiques du sud-est asiatique, disponible en version minibus ou pick-up. A l’origine un Mitsubishi Delica rebadgé, Le H100 est depuis devenu un modèle Hyundai à part entière, qu’on doit désormais benchmarker chez Mitsu…

Jaguar SS100 : Attention, chef d’œuvre ! Avant que la marque SS (Swallow Sidecar) ne soit rebaptisée Jaguar en 1945 pour des raisons qu’on peut imaginer, la SS100 utilisait déjà le nom du célèbre félin. 100 pour 100 mph que les 125 chevaux de son beau 6 cylindres en ligne de 2.5l étaient supposés lui permettre d’atteindre, sans doute en descente et par vent arrière. Mais peut importe puisque sa plastique exceptionnelle lui a permis de symboliser l’archétype du roadster sportif des années 30. Une Jaguar au 100 chaud, en quelque sorte.

Lamborghini Centenario : Puisque Lambo n’est pas prête de célébrer son propre centenaire, elle a commémorée en 2019 celui de la naissance de Ferrucio, son fondateur. Et de quelle façon ! Construite comme le remake plus récent de la Countach sur la base d’une Aventador, la Centenario apparait beaucoup plus réussie, sans doute parce qu’elle n’a pas eu à se préoccuper de pasticher un modèle du passé. Vendue à 40 exemplaires pour 2,1 millions d’euros, celle-ci n’en fait pas moins partie de ces séries limitées particulièrement lucratives dont la marque de Sant’Agata Bolognese s’est fait une spécialité.

Land-Rover DC100 : Encore un concept-car, mais utile puisqu’il annonçait dès 2011 le futur Defender II. Sauf qu’avec un intervalle de 9 ans, on a tous eu le temps de l’oublier. 

Lotus Elan M100 : Lancée en 1989, la M100 avait tout pour être une Lotus ratée, et certains ne manqueront pas de la considérer comme telle. Née à un moment compliqué de l’histoire de la marque (y en eut-il qui ne le furent pas ?), celle-ci eut droit à une mécanique Isuzu située à l’avant, des roues avant motrices et une fin de vie chez Kia. Mais d’après ce que j’en ai lu à l’époque, aucun des 167 chevaux du bouilleur japonais ne manquaient à l’appel, le comportement de l’engin avait de quoi réconcilier n’importe quel conducteur sportif avec la traction, et son look signé Peter Stevens était juste parfait, entre la finesse générale des lignes et des ailes bodybuildées juste comme il faut. Bref, si l’un d’entre vous en possède une, qu’il n’hésite pas à me contacter pour me la faire essayer.

Lotus T100 : Une bonne gueule de championne, et pourtant : sa devancière (la 99T) signa les deux dernières victoires de la marque britannique dans le championnat du monde de Formule 1. Malgré les efforts de Nelson Piquet et Satoru Nakajima, et les 650 chevaux du V6 Turbo Honda, la belle jaune dû se contenter de trois podiums lors de la saison 1988. Mais que ne donnerait-on pas pour la revoir en piste, et entendre miauler à nouveaula mécanique poussée à 12.500 tr/min…

Maybach S680 Edition 100 : Encore une édition commémorative d’un centenaire de marque. Mais celle-ci est disponible chez tous les bons concessionnaires de la marque étoilée, avec un V12 de 621 chevaux et tous les équipements que j’ai décrits dans la chronique que j’ai consacrée au modèle en juillet dernier ("La Mercothèque"). A condition de disposer des 250.000 Euros ou plus que Mercedes vous demandera poliment avant de vous en remettre les clefs.

Mercedes MB100 : Aux antipodes du modèle précédent, ce petit utilitaire commercialisé de 1987 à 1995 possédait de roturières origines DKW, et fut même rebadgé par Daewoo et SSangYong. Autant vous dire que ce n’était pas l’étoile la plus brillante de la famille, même si les plombiers -polonais ou pas- remercient.

Nissan 100 NX : Version nippone de "chérie, j’ai rétréci le coupé". Sauf que là, les responsables plan-produit de la marque auraient sans doute pu s’abstenir. Allez, on pense aux Z et on passe à autre chose.

Rover 100 1959 : La bonne époque de Rover, quand la marque de Solihull faisait des autos robustes et respectables. Une espèce de Peugeot 203 britannique dix ans plus tard, avec 2 cylindres en plus, succédant à la 95 et précédant la 105 dans la généalogie P5. 

Rover 100 1990 : La mauvaise époque de Rover, comme si un restylage de l’Austin Metro frappé de l’emblème au drakkar constituait une bonne idée. En l’occurrence, une Rover "sans".

Skoda 100 1969 : Encore un 100 pour un 1.000, mais version tchèque. La Skoda 100 était en effet mue par un méritant 998 cm³ développant 48 chevaux, alors qu’une version plus puissante de 3 chevaux disposant d’un gros 1.107 cm³ était évidemment baptisée "110". La version coupé de cette dernière eut droit au sobriquet de "Porsche de l’Est", plus en raison de la position en porte à faux arrière de son moteur qu’en raison de ses performances, même ci celle-ci fréquenta volontiers les épreuves de rallye de l’époque.

Voilà, cette centième est désormais terminée. Vous pouvez donc cliquer sur une autre page d’Autoactu.com et reprendre une vie normale. Mais si j’ai un conseil à vous donner avant de nous quitter, c’est de ne pas faire "la ton" sur l’autoroute. En 2021, ce n’est plus de bon ton.
Allez, on se retrouve pour la 101e

Réactions

Le jeu est de trouver 100 purs sangs ?
;0)

Comme on a le droit d'en faire des tonnes pour fêter cela il y avait aussi..
100Gyong
100tana
100dero
X100tia
;0))

Bravo, je suis admiratif de tant de “background” culturel et scientifique….sinon automobilistique !!

Zallez voir jeudi prochain avec les 101 dalmatiens...
;0))

Pour 2001 Odyssée de l'Espace, faudra attendre un peu...
;-)

Concernant les unités de mesures de l’Empire,la pire fut la bouteille de 75 Centilitres….maudits Britons,adieu litres étoilés,gast!

C'est sans doute l'air de la Corse qui m'influence (?)...
Côté Melon ... le chroniqueur a évité soigneusement toute allusion aux "cent jours" ....

Sinon, de bon "ton" de s'émouvoir devant la photo de la Jag SS 100 ...
C'est d'un lourd (?)
;0)

…et l’air de Faro en Algarve… avec 32 degrés hier AM… et plein britanniques et teutons les orteils dans l’eau jusqu’au cou, peut m’influencer aussi !!
Les britanniques peuvent encore toucher des allocations en allant sur le net tout en restant au Sud du Portugal… mais cela ne va pas durer ! BoJo veille !!
Ils roulent ???? osse en attendant !!
C’est le paradis comme à Copabana rien de moins !!

Les orteils dans l'eau jusqu'au cou ??
;0))

Tiens ! Pour être dans l'air du temps et politiquement correct avec Greta, il aurait été intéressant de trouver quelle voiture est passée la première en dessous de 100g/km...
;0))

Ben la Jamais Contente, la bien nommée ?
Moins de 100g/km pour 100 km/h, un vrai pur 100...

100 pour 100 d'accord ? … Qu'en pense le Tone …
;0))

Happy 100!

L'art des tonnes sans en faire des caisses !

Votre commentaire

Vous devez être connecté pour publier un commentaire

Autres articles

Constructeurs

Citroën fait une proposition joyeuse de la mobilité en centre urbain

Avec le groupe Accor et JCDecaux, Citroën a lancé une initiative pour proposer une vision positive et ludique de la mobilité autonome dans les centres urbains. En première mondiale, les partenaires réunis dans "The urban collëctif" ont montré le véhicule autonome Citroën qui est une sorte de skateboard géant (baptisé The Citroën Skate) et trois cellules (des "Pods") qui viennent se greffer dessus.