Publicité
Publicité

Les actualités automobiles à la une

Édition du mardi 14 janvier 2025

Analyse - 14/01/2025 - #Renault , #Alpine , #Bmw , #Cupra , #Hyundai , #Kia , #Fiat

Car of the Year 2025, l’émotion et le plaisir de conduite récompensés

La victoire de la R5 et sa déclinaison sportive Alpine A290, c’est le rappel que l’automobile ne se juge pas que sur des qualités rationnelles mais qu’il s’agit aussi d’émotion et de plaisir de conduite. Sur le papier, les Kia EV3, Citroën C3 ou Hyundai Inster avaient beaucoup d’atouts, mais il leur a manqué le petit truc en plus qui déclenche l’enthousiasme. Tour d'horizon des commentaires des membres du jury sur les qualités (et défauts) de la R5.

Après-Vente - 14/01/2025

Doyen Auto se développe en Belgique

Via sa filiale Doyen Auto, le groupe PHE, a repris la société de distribution de pièces Autolux basée en Belgique et réalisant plus de 5 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Publicité

Édition du lundi 13 janvier 2025

Car of the Year 2025 : Comment j’ai voté et pourquoi ?

Quelle voiture mettre en tête et quelles voitures éliminer, ce sont les deux questions qui constituent la première étape de ma sélection. La deuxième consiste à classer les quatre autres voitures avant de distribuer sur les cinq premières les 25 points dont chaque membre du jury dispose. En compétition cette année : Alfa Romeo Junior, Citroën ë-C3/C3, Cupra Terramar, Dacia Duster, Hyundai Inster, Kia EV3, Renault 5/Alpine A290.

Analyse - 13/01/2025 - #Renault , #Tesla , #Alpine , #Byd , #Dacia , #Mg

R5 : un titre de voiture de l’année accueilli avec fierté et prudence

Arlésienne durant de très longs mois, la R5 électrique de Renault est enfin dans les rues et l’usine de Douai fonctionne déjà en deux équipes pour faire face aux commandes. Elue voiture de l’année en ce début janvier 2025, la voiture pourrait correspondre à la success story qu’avait rêvé d’écrire le couple Luca De Meo – Jean-Dominique Senard en lançant l’initiative en 2020. Commercialement comme industriellement, l’affaire ne semble pas trop mal partie et pourtant, plutôt que de surfer sur la vague, on a le sentiment que l’on s’interdit, chez Renault, de se laisser griser. A bien y réfléchir, c’est moins d’un excès de modestie qu’il s’agit que de la nécessité de pas trop célébrer le succès dictée par un agenda politique.

Editions précédentes